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Nibelis x Timesquare : SiRH, Paie, GTA, Planification, découvrez une approche centrée sur les API et l’intelligence humaine

Nibelis X Timesquare : SiRH, Paie, GTA, Planification, Découvrez Une Approche Centrée Sur Les API Et L’intelligence Humaine

Nous recevons aujourd’hui Vivien Ambert, Directeur Commercial chez Nibelis. Ce SiRH à la carte 100% cloud pour les PMEs permet une dématérialisation et décentralisation des processus RH.

Nibelis, le SiRH qui simplifie le quotidien des DRH

Cette solution riche et complète est associée à un niveau d’expertise et d’accompagnement dédiés. Découvrez les 3 bénéfices d’un SiRH 100% cloud :

  • Productivité (automatismes, suppression des coûts annexes)
  • Fiabilité (paie juste et 100 % conforme)
  • Efficacité (ergonomie simple, interface web/mobile, intégration native des logiciels RH au socle paie)

Gestion de la Paie et des RH pour PMEs

SiRH à la carte 100% Cloud : Gestion des talents, dématérialisation, édition de rapports, pilotage budgétaire et décisionnel, décentralisation des processus RH.

Le Temps d’une pause ! Thé ou café ?

Bienvenue sur notre série de podcasts Thé ou café ? qui met en lumière l’actualité de notre écosystème. Découvrez une série d’entretiens avec des experts de l’efficacité organisationnelle et de la digitalisation : SiRH, relation client, management, solution paie, conseil, éditeur de logiciels, cloud.

Le texte qui suit est une retranscription du contenu de l'enregistrement.

Aux origines, Nibelis est un acteur qui assure la rigueur des processus de Paie. Désormais Nibelis est un SiRH global. De la Paie au SiRH, une chaîne de valeur dans les processus RH

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Quelle est la stratégie produit de Nibelis ? Originellement un acteur paie qui élargit désormais son offre SiRH produit et fonctionnelle ?

Effectivement Nibelis est né il y a plus de 20 ans autour de fondations principalement dans le domaine de la Paie.  Depuis, au fil des années, on a développé un certain nombre de fonctionnalités et logiciels RH. Ces outils RH ont pour vocation d’apporter des réponses concrètes aux enjeux RH de nos clients. Par exemple, nous avons intégré la gestion des notes de frais ou encore le suivi de la formation.

Au regard du succès et de la pertinence de cette approche depuis 15 ans, on a construit une offre globale et SiRH. Celle-ci s’axe autour de thématiques phares : la gestion des talents, la partie pilotage, la digitalisation des processus (salariés et managers) et le suivi du temps. Forts du constat de la satisfaction des clients dans cette approche, on a décidé d’aller un pas plus loin. Nibelis a renforcé l’approche SiRH en permettant notamment de ne plus considérer l’environnement Paie comme étant un socle de base incontournable à l’utilisation de Nibelis.

Aujourd’hui la technologie et la sécabilité des différents logiciels proposés permet d’accéder à un Core RH. Cela nous permet de poser les fondations d’un système RH sur lequel on greffe un certain nombre de logiciels. Ces ajouts ont pour objectif de répondre aux seuls enjeux du client.

Par exemple, nous proposons à nos clients de répondre à leur besoin : « J’ai besoin de produire ma paie » « j’ai besoin de suivre mes talents » « j’ai besoin de digitaliser un certain nombre de processus »

Nibelis horizontalise son approche produit et intègre progressivement de nouvelles fonctionnalités. Quelles sont vos perspectives et votre road map chez Nibelis ?

Oui, aujourd’hui la notion d’horizontalisation passe par le fait que tous les logiciels sont avant tout des facilités. Chaque éditeur choisit lesquelles sont mises à disposition. Nibelis, c’est donc un généraliste global sur l’ensemble de la fonction RH. Désormais, ce qui devient fondamental en tant que client ou utilisateur, c’est cette notion de capacité de montage de l’interface automatisée. C’est cette capacité de l’outil à pouvoir communiquer avec « un écosystème global ». Personne ne peut se revendiquer être le meilleur acteur sur tous les systèmes.

Cela veut dire que, nativement, Nibelis a été repensé ces dernières années autour des APIs. Cela va permettre de se connecter aussi bien avec Timesquare de Holy-Dis, avec du 360 learning et d’autres outils. On va vouloir, finalement, garantir une fiabilité des données transmises et une facilité d’utilisation par les utilisateurs.

L’étendue de l’offre implique une multitude de profils utilisateurs à adresser. C’est un challenge pour les éditeurs que nous sommes et pour nos clients communs. Comment adressez-vous cette complexité dans vos offres ?

Alors effectivement c’est un point important. Dans votre question il y a avant tout la notion d’utilisateur, qui cadre et oriente les développements. C’est-à-dire, qu’aujourd’hui, un outil doit être totalement, prioritairement, orienté dans l’utilisation facilitée d’un système. Et c’est dans ce cadre-là que les outils doivent être développés. Les éditeurs clefs du marché (Holy-Dis ou Nibelis) prennent en compte la notion d’ergonomie, le besoin de réduire le nombre de clics avant d’aller valider n’importe laquelle de mes demandes.

La particularité des RH c’est que pour faire évoluer un système il n’y a pas que l’utilisateur à prendre en compte. Il faut intégrer l’utilisation par le client final, mais on a différentes strates qui font aussi évoluer le système.

L’aspect légal

Le premier c’est l’aspect légal. Quand on parle de légalité en Paie, sur le texte ça paraît une évidence. Mais sur les parties formation, suivi du temps, gestion des entretiens professionnels, on a un législateur en France, tant mieux pour nous éditeurs, qui est très imaginatif.  Il nous permet de devoir faire évoluer l’outil régulièrement, d’apporter des fonctionnalités complémentaires à nos clients.

L’utilisateur (ou gestionnaire)

Le deuxième axe sur lequel on va s’inspirer pour faire évoluer le système c’est donc l’utilisateur. Utilisateur avec un grand U. C’est le client. Peu importe son métier, c’est lui qui va nous dire « j’ai besoin d’une fonctionnalité » « je trouve que cette fonctionnalité n’est pas pertinente » « elle est trop lourde » « elle est trop complexe ». Chez Nibelis on intègre ces demandes dans la Road Map pour pouvoir simplifier au maximum l’outil.

Le benchmark

Le troisième élément c’est la notion de tendance marché. Aujourd’hui on a un certain nombre d’acteurs de référence qui font des analyses pertinentes sur des thèmes très variés. Ils vont ainsi nous orienter sur les tendances du marché. Cela nous permet d’anticiper les besoins en développements.

L’utilisateur final (collaborateurs)

Et pour terminer, le dernier étage de la fusée, c’est justement l’utilisateur final. Pourquoi ? Parce que, que ce soit vous, moi ou nos auditeurs, quand on va chercher un applicatif sur nos smartphones il n’y a personne pour nous dire comment il faut l’utiliser. Et dans la majorité des logiciels qu’on va installer, il n’y a même pas de guide utilisateur. C’est donc dans cette philosophie que les professionnels RH doivent penser leurs outils. Si on déploie un outil et qu’il y a besoin d’une journée de formation pour le salarié, le taux d’adhésion est de 0, il est nul. Cela fait que le projet piloté par la fonction RH est un échec total et retentissant.

L’objectif pour nous, c’est côté salarié, manager, mais également côté expert, de pouvoir proposer des outils qui soient dans ce qu’on appelle une technologie, un affichage, une ergonomie en self-learning.

L’offre dans une logique d’application : convaincre par la valeur ajoutée, le service et l’accompagnement sur des processus métier pour les utilisateurs

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Le SiRH doit-il simplifier les usages, automatiser des tâches, fournir des datas RH adaptées à chaque acteur pour faciliter la prise de décision ? En somme, proposer une réelle Valeur Ajoutée à chaque collaborateur ?

Oui c’est tout à fait cela. De la même manière, la philosophie des outils mis à disposition, les objectifs de ces outils ont évolué sur ces dernières années. Pendant longtemps, le fait de mettre à contribution les managers ou les salariés sur le développement des outils ne répondait qu’à l’objectif de décentraliser des tâches et uniquement cet objectif. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Je prenais la masse de travail que j’avais au service RH et je la décentralisais auprès des salariés et des managers.

L’objectif, en 2024 est tout autre. En réalité on ne va plus juste décentraliser des tâches. Parce que le manager si on lui rajoute du travail, ce n’est pas très intéressant pour lui. Ça ne lui apporte pas une valeur ajoutée et ça ne permet pas de lui faciliter la vie au quotidien, dans son travail. Ce que l’on va préférer aujourd’hui, c’est d’être plutôt dans une transmission d’informations pour faciliter le travail quotidien des salariés ou des managers. Donc cette logique a un impact fort sur les outils qui sont mis à disposition. C’est à dire que l’on va d’abord automatiser au maximum les tâches que l’on va demander aux managers ou aux salariés de gérer. Ça c’est le premier élément.

Le deuxième élément est que le logiciel, le service RH dans sa globalité devient pourvoyeur d’informations pour justement permettre aux managers de prendre les bonnes décisions. Quand je mène un entretien, avoir accès à tout ce qui est en lien avec les éléments de rémunération simplifie le processus. C’est ainsi plus facile pour moi de négocier avec le collaborateur sur sa demande d’augmentation. On est donc justement dans une mise à disposition de l’information. On permet au manager très simplement de remplir les obligations légales, d’accomplir les tâches RH demandées.

On réduit ce temps-là et on permet de prendre les bonnes décisions. Finalement chacun devient un acteur et maître de son service ou son organisation.

On parle donc de transformation de la data au profit de l’ensemble des usages de chaque acteur dans son périmètre ?

La data c’est aujourd’hui le cœur du système. On parle de RH mais finalement c’est globalisé dans l’ensemble des logiciels. Le cœur du sujet c’est la data et comment est-ce que l’on exploite cette data ? Qui que l’on soit dans une organisation, on a besoin d’informations pour faire son travail. Que ce soit sur une ligne de production (j’ai besoin de savoir combien de temps je dois produire), sur mon service projet et R&D (je dois savoir ce que je dois développer, dans quel délai et sous quelle échéance). On n’est que sur des éléments de timing et de data et la vertu d’un logiciel doit impérativement être de transmettre cette information (juste), peu importe d’où elle vient, que ce soit de Nibelis ou de Timesquare. Un applicatif tiers peut être connecté de manière synchronisée comme avec Holy-Dis et avec d’autres acteurs de digitalisation de coffre-fort. La donnée doit être fiabilisée, simplifiée dans sa lecture et son exploitabilité et permet de prendre des décisions, mener des actions, piloter des tâches, etc.

La gestion des plannings et des temps et sa spécificité dans le SiRH : TIMESQUARE

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Comment percevez-vous TIMESQUARE sur le marché SiRH global ?

Holy-Dis et Nibelis, on se connaît depuis de nombreuses années. On travaille ensemble avec différents clients et partenaires. Ça veut dire qu’en réalité on est des experts métier et TIMESQUARE est l’expert en planification sous contraintes. On peut dire qu’il est une référence du secteur sur ce domaine. Ma perception est plutôt très claire et elle est partagée par les acteurs SiRH et confrères, mêmes concurrents. Elle est partagée par les clients. C’est cette notion d’expert et de référence sur la planification des RH sous contraintes. Il y a des éléments de modernité et d’évolutivité que j’aimerais faire ressortir concernant TIMESQUARE.

A l’origine on parle avant tout de planification sous contraintes et est venu ensuite la Gestion des Temps et des Activités. C’est-à-dire que cette prise en compte des besoins des clients a été menée au fil de l’eau. La compréhension de ces besoins permet de garantir une réponse produit GTA qui est professionnelle, complète et orientée utilisateurs.

Et du coup comment définissez-vous TIMESQUARE en trois mots ?

TIMESQUARE c’est avant tout une solution de gestion de plannings et des temps experte, qui assure une évolutivité constante et apporte une interopérabilité avec les outils tiers.  Historiquement, Holy-Dis partait de la planification sous contraintes, donc il fallait forcément des outils complémentaires pour pouvoir exploiter cette data dont on parlait tout à l’heure. Donc cette notion d’interopérabilité est fondamentale.

Algorithmes et moteurs de calcul : Machine learning, d’Intelligence Artificielle quelle place dans le SiRH ?

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Quelle est la vision de Nibelis aujourd’hui sur l’évolution du cœur des outils au niveau technologique et SiRH ?

Alors ça c’est un vrai sujet. Déjà c’est un terme qui est très à la mode. Et c’est un sujet qui est pris en charge, non pas seulement par les éditeurs de technologies quels qu’ils soient, mais également par les institutions. Et il y a un certain nombre de papiers de spécialistes ou même d’institutions européennes qui en parlent et qui tentent de se positionner en amont d’une utilisation extrêmement industrialisée de l’intelligence artificielle. D’ailleurs, le parlement européen explique d’abord que l’intelligence artificielle ce n’est pas une technologie à proprement parler (article disponible sur le site de la CNIL). C’est un domaine scientifique où l’on va adopter, utiliser et intégrer tous les outils qui peuvent être utilisés par une machine pour reproduire, j’insiste sur le terme de reproduire, des comportements liés aux humains. Donc on pense sous raisonnement, à de la planification et à la conception de réponses au regard un certain nombre de datas qui sont intégrées dans le système.

C’est important de le rappeler, cette notion de reproduction et ensuite la notion de réaliser des tâches en fonction de mes datas d’entrée. C’est à dire que finalement je ne réfléchis pas. Je suis sûr de quelque chose qui est similaire. Ce sujet de l’Intelligence Artificielle est tellement vaste que je rigole doucement quand je vois certains acteurs qui disent encapsuler de l’IA alors qu’ils mettent à disposition une FAQ, une foire aux questions, dans lequel il a un moteur de recherche. Ce n’est pas ça de l’intelligence artificielle. C’est juste utiliser les outils qui existent déjà et les exploiter de manière différente. Et ce n’est pas sous prétexte qu’on y floque le terme d’IA côté marketing que ça devient une intelligence artificielle.

Dans le SiRH, l’intelligence artificielle doit donc être appliquée à la réalisation d’une mission RH ou managériale ?

Côté Nibelis, quand on réfléchit à l’IA on ne rentre pas dans cette notion et définition théorique que je viens d’exprimer. On va y mettre la notion d’expérience collaborateur avec exemple des assistants virtuels. Tout le monde connaît les chatbots qu’on peut avoir sur différents sites internet. Là on commence à s’approcher de certaines fonctionnalités qui ont du sens. Qui ne sont pas juste du marketing, mais de vrais outils qui facilitent le travail.

La notion de matching c’est de faire correspondre une compétence, un créneau horaire de travail avec un besoin exprimé par un service. Dans la planification sous contraintes, ça va être avoir besoin de tant de ressources médicales sur tel bloc opératoire, de telle heure à telle heure. Cela revient à définir les ressources que je peux mettre à disposition, sachant que Pierre, Paul, Jacques sont en congés, ils sont en déplacement. Donc cette notion de matching entre aussi dans cette famille d’IA. Par ailleurs, la notion de projection de carrière peut être rattachée à de l’IA. Et ce, en fonction de ma formation, en fonction de mes compétences cartographiées dans l’entreprise et des besoins exprimés par la société (stratégie globale). Comment est-ce que je vais pouvoir mettre à disposition les bonnes ressources et définir d’un accompagnement d’une ressource Lambda pour pouvoir nous permettre d’être présents en Pologne, d’être présents sur un nouveau marché ?

Ce que l’on met également dans la notion d’IA c’est la notion en lien avec la rémunération. Par exemple, comment être plus équitable, pouvoir être cohérent dans les rémunérations qu’on propose. Là où c’est beaucoup plus complexe, c’est de pouvoir digérer toutes les études qui existent sur lesquelles on analyse les rémunérations des salariés, par secteur, par typologie d’entreprise, par localisation géographique. Cela permet de se projeter. Si je suis localisé dans la Creuse, qui produit tel type de machine-outil est ce que je suis bien positionné ? L’objectif bien évidemment c’est de recruter. Le recrutement est un élément central dans la croissance d’une entreprise. Mais ça devient de plus en plus complexe avec les différentes générations, les mindsets évoluent, qu’on a besoin d’être pertinents dans ce que nous, employeurs, on propose.

Donc l’intelligence artificielle oui, mais attention aux effets de mode, ou à l’aspect purement marketing. Aujourd’hui on est dans de la reproduction. Est-ce que le terme d’intelligence est le bon ? Mais on rentre là dans une thématique philosophique. En tout cas, cela a des impacts forts dans ce que nous on propose, Nibelis ou Holy-Dis. Cela nous permet d’être innovants.

Le SiRH doit intégrer l’intelligence humaine dans le travail et les processus de l’organisation

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TIMESQUARE, tout comme Nibelis assure le SAV, l’évolution de l’outil. Et ce, toujours en fonction des besoins de notre société et de nos clients ?

Au-delà de l’IA il faut se rappeler que l’humain est au centre de la démarche. Et du coup on parlait effectivement d’un aspect interface homme-machine. De simplifier l’acquisition et adoption de l’outil et de sa puissance de calcul de ses algorithmes. On parle donc d’accompagnement, de support, de conseil au-delà de l’IA.

Clairement et cette notion d’Humain avec un grand H est central. C’est-à-dire qu’un outil a pour vocation de remplacer l’humain sur des tâches qui sont chronophages sans valeur-ajoutée. Et justement on doit utiliser l’Intelligence Humaine ou l’IH, à bon escient, à des fins de productivité dans l’entreprise. Et cette notion d’intelligence est facilitée parce que les outils sont simples, parce que les outils mis à disposition m’apportent de l’information. Un éditeur n’est pas juste un provider d’une boîte logicielle. C’est un fournisseur d’une offre globale avec de la prestation de services. A un moment donné quand on ne sait pas tout côté expert, c’est moins vrai côté salarié ou manager. Quand le salarié ne comprend pas, il appelle son service RH et quand un expert a besoin d’avoir un interlocuteur il appelle le support pour lui dire « écoutez j’ai un problème sur ma planification » « j’ai un problème sur mon bulletin de paie » « j’ai un problème sur mon plan de formation » « comment est-ce que je dois faire ? » Cette notion d’humain est d’autant plus importante. Et c’est peut-être aussi en lien avec la notion d’ADN des sociétés. Il y a l’humain et il y a aussi où sont localisés ces humains qui rendent le service.

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