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Le directeur de projets, métronome positif

Le Directeur De Projets, Métronome Positif

Le métier de chef de projets regorge de rouages et d’échanges à plusieurs inconnues. Déplacements, imprévus, rendez-vous, réunions, obligent le chef de projets à optimiser et à formaliser les modalités du projet sur le papier pour gagner en efficacité. Olivier B. (il existe 2 Olivier chez Holy-Dis) n’y est pas étranger, mais on pourrait presque dire qu’il y était prédestiné, l’efficacité fait partie de lui !

Olivier B. a vécu une vingtaine de déménagements dans sa vie. Il est donc déjà largement au-dessus de la moyenne française (4,6 fois dans une vie – étude de OpinionWay de 2010). Dès son enfance il a donc appris à voyager et à faire des rencontres, se forgeant au passage un sens de l’échange et une aisance relationnelle, traits primordiaux pour piloter des projets. Bac ES (B) en poche, il s’oriente alors vers des études en école de commerce pour « apprendre à apprendre », notamment assimiler, analyser et développer.

Pour son entrée dans la vie active, il devient manager dans un restaurant Quick et « apprend à bosser » en étant confronté à la réalité du terrain. Une expérience qui le met pour la première fois face à l’épineuse question de la saisonnalité et des variations d’activité qui matérialise les horaires de travail variables (Holy-Dis équipe 525 restaurants !). Il y maîtrise d’ailleurs les outils de planification de Holy-Dis et bénéficiera de cette expérience pour rejoindre Holy-Dis quelques années plus tard.

Au service de l’optimisation : gérer des projets à l’échelle

A son arrivée chez Holy-Dis, Olivier est déjà un utilisateur expérimenté et s’intègre rapidement à l’équipe de consultants-formateurs. Très vite il enchaîne les formations dans l’univers de la grande distribution pour mieux appréhender l’approche pédagogique de Holy-Dis. S’ensuivent plusieurs projets de déploiement dans le secteur de la restauration. Focalisé sur la gestion de projet, il développe alors avec les équipes Holy-Dis des processus industriels pour des déploiements à large échelle. L’environnement et l’expérience utilisateur est alors rationalisée d’un point de vente à l’autre. Déploiement, paramétrage, formations, prise en main, l’ensemble du parcours client est sécurisé.

« Nous devions développer une approche structurée pour la restauration, comme pour la grande distribution. Nous avons donc mis sur pied un parcours ‘projet’ unifié et déclinable pour chaque nouveau client de ce secteur. Par exemple, pour le déploiement de nos solutions chez Quick, nous avons développé une base talon comprenant des paramétrages et des supports dédiés à l’enseigne ou encore un plan de formation sur mesure, etc. » explique-t-il.

Penser global et déployer à moindre coût

Holy-Dis se spécialise depuis plus de 30 ans sur les métiers de ses clients et compte parmi ses rangs des collaborateurs qui ont l’expérience et la culture de leurs secteurs d’activité – Distribution, Restauration, Relation Clients, Logistique. Olivier s’appuie ainsi sur cette intelligence collective pour mettre en place des processus qui accélèrent les projets, réduisent leurs coûts, sécurisent le parcours et renforcent l’expérience des utilisateurs.

Le projet – traduire un besoin en solutions

Après quelques années d’expérience chez Holy-Dis, Olivier assume la place de directeur de projets. C’est un poste qui nécessite de bien mesurer les risques et opportunités pour mieux « mouiller sa chemise ». Lorsque Holy-Dis porte un nouveau projet, le chef de projet prend position et formalise, avec le client, les équipes techniques et les ingénieurs d’affaires, une offre de solutions, services et outils. Un planning de déploiement est un gage de qualité pour le client et une assurance que chaque partie comprend bien les tenants et aboutissants techniques, calendaires, matériels, et aussi et surtout humains.

« Chez Holy-Dis, tous les projets ont été riches et enrichissants d’un point de vue personnel. Mais on devient de plus en plus perfectionniste et la culture du résultat nous gagne. Comme lorsque l’on cuisine, nous cherchons à sublimer les ingrédients pour atteindre un résultat souvent très attendu ! Chez Holy-Dis on a des outils performants qui produisent une réelle valeur ajoutée pour nos clients. » affirme-t-il.

Le cahier des charges – ligne de conduite

Olivier est donc aussi un interprète qui reformule l’ensemble du projet autour d’un langage commun à tous les intervenants. Véritable MOA (maître d’ouvrage) Olivier porte le besoin du client et définit avec lui les objectifs du projet et les moyens de mise en place, le plus souvent à l’aide d’un cahier des charges.

Interprète et équilibriste, l’olivier est à point !

Avec son équipe, Olivier est donc en mesure de mener de front plusieurs projets complexes. Ces deux dernières années « Nous avons dû gérer 3 grands projets à plusieurs centaines de milliers d’euros en parallèle. Mais plus que de pouvoir les mener à bien, ou gérer la pression, c’est le côté humain et relationnel qui renforce le travail positif et constructif. Nous sommes tous animés par un état d’esprit positif et constructif pour avancer avec et pour chaque client » explique-t-il.

Très souvent, des changements de cap, un environnement technologique qui évolue ou encore les nombreux aspects sociaux attenants vont impacter le déroulement du projet. Il ne se conduit pas de manière linéaire. Il faut savoir réagir positivement face à un problème ou encore réattribuer un niveau de priorité aux tâches du projet. La gestion du stress et de la pression sont des aspects fondamentaux du chef de projet.

Le plan de formation – assurer les usages

Au-delà de la mise en place de solutions, le chef de projets doit aussi créer le bon plan de formation. « Nos solutions sont des outils et comme tout outil il faut transmettre les connaissances nécessaires à leur utilisation. De la personne qui n’a jamais fait un planning aux experts avancés, il faut adapter les séances de formation à chaque équipe qui prend en main nos outils. Le pire des pilotes ne saura pas exploiter le meilleur avion, mais le meilleur des pilotes saura exploiter le pire des avions », explique-t-il.

Les années en poste et l’expérience cumulées permettent à Olivier de mener les projets avec assurance et surtout de mettre en place des procédures d’escalade. Le plus important est de toujours adresser la demande exacte au bon interlocuteur et au bon moment avec une mission précise.  Au fil des années, cette approche « projets » a confirmé la position clef des chefs de projet au cœur d’une stratégie différenciatrice :

Small enough to care, big enough to lead

Jeu de mains, jeu de …. Non, non !

Geek – Kit mains libres, montre connectée, tablette, Olivier est gourmand de nouvelles technologies. Mais il a surtout l’appétit pour toutes les solutions ou devices qui permettent de simplifier la vie sans avoir peur de la panne ou de l’interruption !

Cuisine – Mettre la main à la patte ne lui gèle pas l’échine 😉 Olivier aime passer du temps dans sa cuisine pour le régal de ses proches. D’ailleurs il vous propose une recette simple pour votre prochain repas (ci-après).

Bricolage – Olivier n’a pas de poil dans la main. Qu’il s’agisse de changer la chaîne de son vélo, de bricoler à la maison, de réparer le transistor de son voisin ou de construire une fusée, Olivier aime mettre les mains dans le cambouis.

Les 3 mots de la fin

Pour ses collègues, Olivier c’est :

Réfléchi, Avenant, Efficace

Chef Olivier !

Solette au romarin et aux noisettes

Ingrédients 1 Solette par personne, une branche de romarin hachée finement au couteau, 100g de poudre de noisette ou de noix, 40g de beurre salé (pour la poêle), 1 jaune d’œuf, Sel / poivre.

1 – Mélanger la poudre de noisette au romarin haché

2 – Badigeonner de jaune d’œuf la partie peau (coté gris) des solettes

3 – Passer chaque solette dans le mélange noisette/romarin, le but est de faire une ‘panure’ sur le coté gris

L’astuce d’Olivier : vous pouvez faire patienter les solettes sur une assiette recouverte d’un film étirable tendu, ce qui permet de ne pas perdre la panure avant la cuisson

4 – Faire chauffer votre noix de beurre dans une poêle à feu vif, lorsque le beurre mousse poser la solette coté panure pendant 2 min en l’arrosant régulièrement de son jus. La retourner, salez et poivrez, laisser cuire 2 à 3 minutes environ.

Attention ! Le filet étant fin, il cuit très vite : soyez vigilant ! A déguster immédiatement sous peine de manger froid.

Suggestion d’accompagnement : de petites pommes de terre rôties revenues à la poêle avec du romarin ou, pour les plus gourmands, une petite purée maison qui se mariera à merveille avec le mélange beurre/noisette de la cuisson.

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